Résumé: Mars 1912. La jeune et obscure poétesse Elspeth Dunn ne connaît d’autres horizons que celui de l’île de Skye, au large de l’Ecosse. Aussi est-elle à la fois étonnée et ravie de recevoir sa première lettre de fan de David Graham, un étudiant originaire de la lointaine Amérique. Tous deux entament alors une correspondance. Ils se confient leurs auteurs préférés, leurs espoirs les plus fous et leurs secrets les plus chers. Très vite, cet échange épistolaire donne naissance à une amitié profonde qui a tout d’un amour inavoué. Mais lorsque la Première Guerre Mondiale éclate et que David se porte volontaire comme ambulancier, Elspeth ne peut que l’attendre sur son île en espérant qu’il survivra, à moins de forcer le destin… Juillet 1940, Edimbourg est bombardé. Dans l’appartement familial dévasté, Margaret découvre des dizaines de lettres adressées à une certaine Sue. Le lendemain, sa mère a disparu et il lui reste pour seul indice une unique lettre d’amour. En partant à sa recherche, Margaret va petit à petit lever le voile sur les mystères qui entourent sa famille et ce père dont on refuse de lui parler.
Mon avis: J'ai très vite accroché à la lecture de ce livre. Le système de lettres interposées m'a enchanté.
On pourrait se dire que lire des lettres peut être assomant ou lent. Mais il n'en a rien été.
L'auteur a pu développer son histoire tout en douceur, graduellement. On n'apprend des détails de leur histoire, qu'un peu à la fois. Et ça j'aime beaucoup.
Car au final, l'histoire est banale: des liens se nouent, et se dénouent. Des sentiments naissent et disparaissent. Quelque part, c'est du déja vu.
Mais pas de manière épistolaire. J'ai été transportée des états-unis a l'angleterre, en passant par la France.
Et le fait que le récit se déroule sur deux périodes historiques différentes (les deux guerres mondiales) ajoute encore au plaisir de la découverte.
Bref, j'ai dévoré ce livre, et ai adoré le moment passé avec celui-ci.
Points attribué: 10/10
Je peux ajouter 282 pages à mon challenge 1001 pages en mars, ce qui fait 2783/3000 pages.
Je remercie Babélio et Les presses de la cité pour cette jolie découverte
Hum hum... Je crois que je vais rajouter ce livre dans ma WL =) Il a l'air vraiment pas mal ! Merci pour la découverte !
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