vendredi 31 juillet 2015

Pénélope Green tome 3: L'éventail de Madame Li de Béatrice BOTTET


Edition: Casterman
Nombre de pages: 311 pages



Résumé: NOM : Green

PRÉNOM : Penelope

SITUATION FAMILIALE : orpheline,unique héritière de James ALEC GREEN

SITUATION PROFESSIONNELLE : journaliste de choc au EARLY MORNING NEWS

SIGNES PARTICULIERS : une maîtrise très approximative de la langue chinoise, une étonnante capacité à désobéir à son patron et un goût prononcé pour l'aventure et le danger

A force de s'attirer des ennuis, Penelope est contrainte de quitter Londres...
Voilà qui tombe bien : c'est le prétexte idéal pour rejoindre son cher Cyprien, parti sur les traces d'un trésor enfoui à l'autre bout du monde. Cap sur la Chine et ses mystères !

Mon avis : On retrouve Pénélope, revenue en Angleterre depuis sa dernière aventure. Elle attend des nouvelles de Cyprien, embarqué pour plusieurs semaines sur un bateau.

Au moment où elle commence à déprimer de son absence et du manque d’aventure, voilà qu’elle reçoit un message de son coéquipier, accompagné d’un éventail tout à fait particulier.

Cyprien lui demande de le rejoindre pour un voyage vers la Chine. Pénélope n’hésite pas une seconde : elle prépare armes et bagages, et là voilà partie.

Une histoire bizarre de trafic a éveillé l’intérêt de Cyprien, qui sent la grosse affaire, et des articles à venir pour la jeune fille. Pénélope fera d’une pierre deux coups : elle pourra parler de ce fameux trafic, et des conditions de vie des  femmes en Chine.

J’ai trouvé que ce tome était un peu plus lent que les précédents. Il n’y avait pas autant de matière a se mettre sous la dent au long du livre. J’ai eu l’impression avait été énormément brodée, pour complèter un nombre de pages.

Bon, malgré tout, le travail de recherches et d’explications est bien présent. Expliquer les traditions des pieds bandés des filles, des coutumes pour les jeunes filles, etc à un jeune public n’était pas forcément chose facile. Je trouve que l’auteur s’en est sorti à merveille.

Je continue à penser que c’est une très chouette série pour des petits lecteurs en mal d’aventures. Le vent du large, les terres inconnues, le danger et l’amitié… Tout y est pour conquérir.
Voilà de nouveaux titres à proposer à mes têtes brunes.


Points attribués : 7/10

jeudi 30 juillet 2015

1, rue des Petits-Pas de Nathalie HUG


Edition: Calmann-Lévy
Nombre de pages: 352 pages

Résumé: Lorraine, hiver 1918-1919. Dans un village en ruines à quelques kilomètres du front, une communauté de rescapés s’organise pour que la vie continue.Louise, seize ans, est recueillie au 1, rue des Petits-Pas par une sage-femme qui va lui transmettre son savoir : accoucher, bien sûr, mais aussi lire et écrire, soigner les maux courants et, enfin, être l’oreille attentive de toutes les confidences. Mais dans ce village ravagé par la guerre et isolé du monde, les légendes nourrissent les peurs, et la haine tient les hommes debout. Ces peurs et cette haine, Louise va devoir les affronter car elle exerce son art dans l’illégalité, élève un enfant qui n’est pas le sien, aime un être qu’elle n’a pas le droit d’aimer, et tente de se reconstruire dans cet univers où horreur et malveillance rivalisent avec solidarité et espoir.

Mon avis : Louise est sage-femme dans un petit village de France, dévasté par la guerre qui vient de faire rage. Après avoir subi un viol collectif, elle a été recueillie par Anne, qui lui a montré tout doucement de l’aider. Lors d’un accouchement auquel la jeune mère ne survit pas, Louise prend sous son aile le bébé orphelin, et sans occupera comme si c’était le sien.

Il faut tout reconstruire, et les équipements manquent. Malgré tout, Louise s’acharne à soigner, à aider, et à accoucher toutes les femmes du village.

Pourtant, c’est illégal. Une sage-femme, à cette époque, ne pouvait faire tout cela. C’était réservé aux médecins. Mais étant donné qu’il n’y en a pas, elle prend le risque de continuer à professer. Elle étudie avec Vida, personne sèche et froide, qui lui apprend à lire, à connaître les pommades et onguents nécessaires.

Mais ça, c’était avant de se rendre compte que Vida n’est pas ce qu’elle paraît être…
J’avais entendu énormément de bien de ce livre. Les avis étaient plus que positifs, et cela m’avait donc donné envie de le découvrir.

Bien que l’histoire soit intéressante, et bien construite, je l’ai trouvée fade. Il y avait, bien entendu, des moments forts. Mais dans l’ensemble, je ne me suis pas sentie prise dans l’histoire, pas suffisamment interpellée.

Je suis un peu déçue, et c’est là souvent le problème quand on se laisse influencer par d’autres avis très positifs. On s’attend à découvrir une merveille. Peut-être en ai-je trop attendu…

Louise a un caractère particulier, tenace et têtue. Mais en même temps, elle n’a que 16 ans, et donc hésite beaucoup sur ses choix. J’ai trouvé dommage ce dandinement entre deux décisions chaque fois qu’un problème sentimental se posait.

Il y a beaucoup de personnages secondaires, et c’est normal dans un village. Mais il m’arrivait de m’y perdre, parfois, l’espace d’une seconde.

J’aurai passé un bon moment, mais sans plus.

Points attribués : 7/10

mercredi 29 juillet 2015

Le goût de la vie d'Anouska KNIGHT


Edition: Harlequin
Nombre de pages: 384 pages

Résumé: Dans sa vie, Holly n’a que trois priorités : sa famille (même s’il faut avouer que, ces derniers temps, sa sœur, enceinte jusqu’aux dents, lui tape prodigieusement sur le système), son chien Dave (boule d’amour probablement issue d’un croisement entre un labrador et une vache) et sa boutique de pâtisserie, Cake, qu’elle tient avec son meilleur ami, Jesse. Le reste, elle s’en fiche : plus rien n’a d’importance à ses yeux depuis que Charlie, son mari, son âme sœur, est mort dans un accident de voiture.Mais voilà que déboule dans sa vie un certain Ciaran. Ciaran est beau, Ciaran est riche, Ciaran est écossais. Mais, surtout, Ciaran la trouble profondément et provoque en elle des sensations inattendues… Non, non et re-non, l’amour, elle y a déjà goûté et cela lui a laissé un terrible goût amer. Un goût de douleur et de solitude, de larmes et de regrets. Et, pourtant, une part d’elle ne peut s’empêcher de croire qu’il est – peut-être – l’ingrédient qui manque à sa vie…

Mon avis : Holly a perdu son mari, dans un accident de voiture. Depuis, elle s’efforce de vivre sans lui, jour après jour, et de faire tourner sa boutique.

Cake, le magasin de gâteaux et de pâtisseries qu’elle tient, offre des prestations spectaculaires pour chaque occasion. Avec son meilleur ami, Jesse, ils font une fine équipe.

Martha, la sœur de Holly, est sur le point d’accoucher, et essaie de prendre soin de sa jeune sœur autant qu’elle le peut.

Tout cela pourrait rester monotone, si Holly ne recevait la commande d’un gâteau tout à fait particulier, à aller livrer chez l’une des familles les plus influentes de la région.

C’est là qu’elle découvre Ciaran, fils héritier de la famille. Il est à tomber, et a tout pour plaire : beau, riche, viril…

Mais Holly ne le voit pas. Elle ne pense qu’à Charlie. Jusqu’à ce qu’il s’impose à son regard.
J’ai beaucoup apprécié le côté gâteaux de cette histoire. Même si ce n’est pas autant tout au long du livre, ils ont tout de même une place importante.

Bon, évidemment, on tombe dans le cliché que tout le monde connaît : Une jeune femme seule, se trouvant sans intérêt, rencontre un bellâtre richissime… ils eurent beaucoup d’enfants (enfin, je ne sais pas, le livre ne mentionne pas ce stade-là). C’est cousu de fil blanc.

Mais c’est agréable, ça permet de passer un bon moment de lecture sans prise de tête. Un bon intermède entre deux livres plus ardus.

Il y a aussi une belle touche de sentimentalisme et de nostalgie qui m’a beaucoup plu. Cela complétait bien le récit, et étoffait la relation de Holly avec Ciaran.

J’ai passé un joli petit moment.

Points attribués : 7/10

mardi 28 juillet 2015

J'ai menti de Virginie MADEIRA


Edition: J'ai lu
Nombre de pages: 120 pages

Résumé: Je m'appelle Virginie Madeira.J'ai vingt et un an. Je suis étudiante. Quand j'avais quatorze ans, j'ai dit à un camarade de classe que mon père avait " abusé " de moi. Ce n'était pas vrai. Je fais ce livre pour raconter comment,, à l'école, au commissariat de police, au palais de justice, au foyer de l'enfance, dans ma famille personne n'a pensé que ce n'était qu'un mensonge. Mon père a été condamné à douze ans de prison. JE voudrais aujourd'hui que tout le monde sache la vérité : mon père est innocent.
Voici mon histoire.

Mon avis : Virginie est une jeune fille normale dans une famille normale. Son père travaille à son compte, elle a deux frères (dont un malade psychologiquement).

Comme toutes les jeunes filles de 14 ans, elle se sent mal dans sa peau. Elle se sent incomprise, laide, invisible.

Jusque-là, je pouvais tout à fait visualiser la vie dont elle parle.

Ce qui m’a d’autant plus surpris quand elle a raconté comment les choses ont dégénéré, comment tout s’est écroulé.

Pour se rendre importante aux yeux de son amie, elle lance une phrase terrible : « Mon père a abusé de moi »…

Comment une enfant de 14 ans ne peut se rendre compte de la gravité de ce qu’elle vient de dire ? Comment ne peut-elle se rendre compte, ensuite, lorsqu’elle est emmenée en foyer, que les choses vont mal, et qu’il est temps de rétablir la vérité ?

Car, oui, Virginie a menti. Son père ne lui a jamais rien fait de mal, il n’est coupable de rien. Il va être condamné à 12 ans de prison, pour une chose qu’il n’a pas commise. Pour une chose dont l’accuse sa propre fille !

Je suis horrifiée par ce récit. Et par cette jeune fille surtout. Oui, elle a l’honnêteté de finir par avouer avoir menti. Mais bon sang, pourquoi ne l’a-t-elle pas fait plus tôt ??

Pourquoi a-t-elle attendu que sa famille ait complètement éclaté, que son père ait entamé sa peine de prison, pour « oser » dire qu’elle avait menti ??

Je pense qu’aujourd’hui, bien malheureusement, la parole d’enfants priment bien davantage que celle des parents. Et dans ce cas-ci, bien à tort. Ce n’est certainement pas le seul cas, et je trouve sidérant que la justice soit à plusieurs vitesses.

Une simple phrase, pour un jeu, tourne au désastre. Et ce père de famille n’a aucune chance de se justifier, de prouver qu’il était innocent.

Loin de moi l’idée de faire croire que toutes les accusations enfantines soient non-fondées. Mais je trouve, par contre, qu’avant de condamner quelqu’un d’office, il vaudrait mieux prendre en compte tous les éléments. Condamner quelqu’un pour une simple phrase, pour une accusation sur un coup de colère (et Dieu sait que les adolescents débordent régulièrement de colère), et le parent se retrouve accusé, et mis sous les verrous.

Je pense, vraiment, que la société devrait se remettre en question. A force de vouloir protéger, on a fini par créer l’effet inverse : il va bientôt falloir protéger les parents…




lundi 27 juillet 2015

C'est lundi, que lisez-vous? (77)


Rendez-vous initié par Mallou qui s'est inspirée de It's Monday, What are you reading ? de One Person’s Journey Through a World of Books. Le récapitulatif des liens se fait maintenant surle blog de Galleane.


Il s'agit de répondre à trois questions:
1. Qu'ai-je lu la semaine passée?
2. Que suis-je en train de lire?
3. Que lirai-je après?

Le semaine dernière a été  trèèès occupée, et du coup j'ai très peu lu hihi

Voilà une photo de nous, samedi








Cuba, 1956. Nora et Alicia, deux cousines très proches et complices, vivent une enfance heureuse et insouciante.
Mais la révolution éclate, et Fidel Castro accède au pouvoir. Un climat de peur, nourri par la répression, s’installe peu à peu. Nora émigre alors aux États-Unis, laissant Alicia derrière elle, qui s’apprête à vivre des heures sombres à La Havane.
Tandis que Nora, bien nostalgique de son pays natal, s’accommode peu à peu de cet environnement nouveau, Alicia subit les coups durs, dans un Cuba où la situation se détériore. Grâce aux lettres qu’elles continuent d’échanger, Nora comprend que la vie d’Alicia est devenu un enfer. Elle décide alors de retourner à la Havane pour lui venir en aide.
Mais ce qu’elle va découvrir à Cuba est bien loin de tout ce qu’elle pouvait imaginer…



La vie aux côtés de notre père fut pleine d'impondérables et de charme. Elle n'était ni banale ni triste. Le mythe de l'acteur comique abandonnant son humour à la sortir du théâtre pour afficher le masque d'une mélancolie pesante n'a jamais eu sa place dans notre maison. Louis de Funès était un homme aussi drôle dans la vie qu'à l'écran, sans toutefois utiliser les mêmes armes car il exerçait avant tout un vrai métier, qu'il a peaufiné tout au long de sa carrière. La curiosité de son public est toujours aussi vive : " Comment faisait-il pour trouver tout cela ? " " Il paraît qu'il était extrêmement nerveux " " Vous racontait-il ses gags avant de les jouer ? " " On dit qu'il était extrêmement dur sur un tournage . " " Etait-il sévère avec vous ? " Autant de questions que nous abordons dans ce livre, en tant que témoins privilégiés de cette aventure si originale. " Si l'on connaît tous par cœur l'acteur Louis de Funès et ses films, l'homme, qui aimait la discrétion, reste, lui, méconnu. Dans ce portrait intime, ses enfants nous proposent da faire connaissance avec cet homme secret. On y découvre la personnalité ignorée de leur père, une vie au quotidien riche et trépidante, ponctuée de rebondissements et de péripéties souvent dignes de ses films. Ce vagabondage à la fois inattendu, cocasse et émouvant ravira tous les admirateurs de Louis de Funès.



À l'inverse de son frère aîné, Armand, solide et rustre paysan, est revenu vivant des tranchées. Mais son âme est meurtrie par la vision du soldat allemand transpercé de sa baïonnette qui, avant de mourir, lui a transmis comme une aumône la photographie écornée de sa jeune épouse. Dorénavant et pendant de nombreuses années, Armand n'aura de cesse de retrouver ce prénom : Monica, pour lui avouer son geste et enfin, espère-t-il, atténuer sa culpabilité et sa souffrance. Une nouvelle guerre, la Résistance, le maquis n'atténueront en rien son opiniâtreté. Parviendra-t-il à retrouver celle dont il est secrètement devenu amoureux ?

Et vous, que lisez-vous?

dimanche 26 juillet 2015

Dans ma boîte aux lettres (64)


Coucou les loulous!!

Cette semaine aura été bien occupée, vous vous en doutez, mais j'ai tout de même reçu de belles choses.

Les Presses de la Cité m'ont envoyé ceci


1918. Après la guerre, la vie reprend peu à peu son cours normal dans la vallée des Eaux-Claires. Faustine, institutrice dans un orphelinat d'Angoulême, doit bientôt épouser Denis Giraud, riche héritier du domaine de Ponriant. Pourtant, elle est restée très attachée à Matthieu, avec qui elle a grandi. Alors qu'émerge un monde nouveau où apparaissent téléphone, électricité et progrès en tout genre, l'existence de Faustine se révèle parsemée d'embûches et de surprises. A l'aube des Années folles, Faustine et les siens chercheront leur voie, au risque de se perdre.

L'édition De Borée m'a envoyé ce livre


Une « tête de bois » - c'est la signification de son nom - mais une tête bien faite ! Ainsi pourrait-on présenter Anna Pencoat. Rejetant le destin tout tracé par sa mère, à commencer par un mariage arrangé avec ce bougre de Yann, Anna quitte les travaux des champs pour poursuivre ses études. Elle va être aidée en chemin par Rose, la nouvelle institutrice, Constance, une citadine passionnée de mode, et sa tante Blanche, ouvrière en première ligne des luttes sociales. Toutes trois vont la guider et la soutenir dans sa soif d'apprentissage et son désir d'une vie meilleure. Mais qu'est-ce qui pourrait arrêter Anna ?

J'ai gagné un livre à un concours qu'organisait Pampounes pour les 4 ans de son blog



Le 26 mars 1962, lors de la tristement célèbre fusillade de la rue d'Isly, Aurore, six ans, voit sa mère Edwige mourir devant ses yeux. La foule la sépare de son père, le Dr Olivier Mollkirch, lequel, blessé à la tête, plonge dans le coma. L'enfant, sous le choc, ne se rappelle pas son nom de famille et les religieuses qui la recueillent ne parviennent pas à retrouver son père. Elles l'envoient donc en France où un brave couple de paysans, Charlotte et Augustin Cubizolles, l'adopte. À l'adolescence, Aurore n'aura de cesse de rechercher son père. C'est pourtant le plus grand des hasards qui les fera se retrouver…

Et vous, qu'avez-vous découvert?

samedi 25 juillet 2015

Au fil des pages se marie....



Chers amis lecteurs,

Aujourd’hui, c’est un grand jour pour moi.



Après 17 mois de préparation, je vais enfin pouvoir le OUI si important dans une vie, celui qui va me lier à mon cher et tendre fiancé. 17 mois de recherche, de fous rires, d’inquiétude, de listes (pour être sûre de ne rien oublier), d’essayage, de petits secrets et de grands bonheurs. Le plus beau reste à venir, puisque c’est aujourd’hui que nous allons avoir toute la réalisation de notre travail.

Je vous laisse imaginer dans quel état je suis présentement (celles qui sont jeunes mariées comprendront tout de suite de quoi je parle, n’est-ce pas ?). Euphorique, stressée, l’émotion en bandoulière, je suis certainement déjà en train de me transformer en une vraie pile. Mes deux témoins, présentes à mes côtés vont tout faire pour me détendre, et s’arrangeront pour me faire rire.

Toujours est-il que le premier moment important de la journée sera le moment de découverte mutuelle, à mon chéri et moi. J’ai hâte !

Je vous donne un programme succinct de la journée :

Lever aux aurores pour le débarbouillage, la mise en beauté  (et puis aussi le temps de boire un café tout de même)



Revêtir la robe à laquelle je rêve depuis de nombreux mois, (et que j’ai eu l’occasion jusqu’ici de garder sur moi plus de quelques minutes)




Rejoindre la mairie, et en remonter les marches au bras de mon oncle.



En ressortir au bras de mon mari, appellation qu’il aura acquise quelques minutes auparavant.



Ensuite, ce sera séance photo pour tout de même garder un côté sérieux à ce jour mémorable.




Et enfin, rejoindre nos amis pour débuter un après-midi et une soirée remplis, je pense, de surprises, de bonheur et de danse.



Vous comprendrez donc que je sois absente de la blogosphère durant plusieurs jours. J’ai programmé plusieurs articles durant les prochains, qui ne seront pas relayés sur ma page Facebook. N’hésitez donc pas à venir vous balader régulièrement par ici.
Dès que j’en aurai l’occasion, je vous montrerai de quoi nous avions l’air, chéri et moi, dans nos plus beaux atours.


A bientôt les loulous !

vendredi 24 juillet 2015

La cour de récré de Jean SICCARDI


Edition: Presses de la Cité, Terres de France
Nombre de pages: 237 pages

Résumé: 1939, Castelroche est un village niché entre montagne et plaine, dominant la Méditerranée. où la population vit repliée sur elle-même. A la rentrée d'octobre, Louis Rosenberg, nouvellement nommé instituteur, dépense une belle énergie pour sa mission éducative. De jour en jour, il devient un enseignant respecté et un modèle pour ses élèves, notamment pour Adrien, enfant de l'Assistance publique, adopté par un couple de fermiers. Mais le maître constate un malaise dans le village, un secret tu depuis des années. Avec l'aide d'Adrien et de ses amis, Louis parvient mettre à jour une sordide histoire dans laquelle tous les villageois sont plus ou moins impliqués. Mais déjà, accompagnée par les troubles politiques et les premiers échos de la guerre, une vengeance terrible se trame contre Louis Rosenberg...

Mon avis: Castelroche est un petit village où tout le monde se connaît, en 1939. Chacun sait ce qui se passe chez les autres, et même ce que les voisins ne savent pas encore.

Jusqu'au jour où Amélie et Julien Philibert étonnent tout le monde en se présentant un dimanche à l'église, avec un enfant surgi de nulle part. Ils l'ont adopté à l'Assistance Publique. Adrien est ravi de ce changement de situation et s'adapte très vite au petit patelin,, se créant des amitiés solides.

Tous les enfants du village et surtout leurs parents, attendent un instituteur. Le précédent est parti, avec armes et bagages, depuis un moment déjà. Et l'éducation des enfants ne peut attendre.

Louis Rosenberg arrive enfin, et faisant fi de certains commérages et de quelques mécontents, décide d'éduquer ses élèves comme il l'entend. Pour cela, il déploie des trésors d'ingéniosité, et ses élèves se prennent rapidement au jeu. Les voilà tous penchés sur des travaux d'étude.

Mais même les petits villages peuvent cacher des secrets, et Louis Rosenberg vient de mettre les pieds dans l'un de ceux-là...

Je suis mitigée par rapport à ce livre. J'adore les romans de terroir, découvrir de petits villages et leurs habitants, et entendre leurs petits secrets et leurs trésors.

Si tous les éléments sont ici regroupés, le livre m'a tout de même semblé un peu brouillon. En effet, bien que dans le quatrième de couverture, on parle essentiellement du secret du village et de l'arrivée de l'instituteur, le livre n'aborde ces sujets qu'à la seconde moitié du livre.

La part belle est plutôt réservée à Adrien, à son adoption et à son acclimatation au village. Ce que j'ai vraiment apprécié bien sûr. Mais au moment où l'on commence à bien s'attacher à ce petit personnage, voilà qu'il disparaît pratiquement à l'horizon pour laisser l'espace à une autre intrigue.

Je suis donc restée sur ma faim, pour la première, puis pour la seconde partie du livre. Car du coup, le fameux secret est éventé beaucoup trop vite à mon goût.

C'est dommage.

Points attribués: 6/10

Je remercie les Presses de la cité pour cette lecture d'avant-guerre.

jeudi 23 juillet 2015

La guerre du Lotus, tome 1 de Jay KRISTOFF


Edition:Bragelonne
Nombre de pages: 408 pages

Résumé: On disait éteinte la race des griffons, ces créatures mythiques menées par les danseurs d'orage. Pourtant, Yukiko et son père reçoivent l'ordre d'en capturer un pour le cruel shogun des îles de Shima. Contre toute attente, ils y parviennent, mais Yukiko se retrouve perdue dans une forêt sauvage, avec pour seule compagnie un griffon mutilé qu'elle nomme Buruu. Unis dans l'adversité, la jeune fille et l'animal s'entraident. Yukiko serait-elle la véritable danseuse d'orage, ultime espoir du peuple ?« Comment ?

Mon avis: Yukiko est la fille d’un garde du Shogun. Ils se voient attribuer une étrange mission : Retrouver un dragon ailé. C’est pourtant, aux dires de tous, une race disparue.
Cependant, une vague rumeur prétend qu’on en aurait vu un et le Shogun a décrété qu’il devait se l’approprier.

Le miracle arrive : Ce griffon existe bel et bien. Mais lors de la manœuvre pour l’emprisonner, Yukiko et son père subissent une avarie grave à leur bateau, le faisant chavirer.
Yukiko se retrouve seule en plein milieu d’une forêt, jusqu’à tomber sur l’animal, qu’elle prend en affection. Peu à peu, ils se comprennent et deviennent complémentaires.

Commence alors le projet de renverser le Shogun de son trône, vaille que vaille.

Je ne suis pas adepte de ce genre de lecture. Dans le cadre d’une lecture échangée, ma binôme m’avait choisi celui-ci.

J’ai eu un peu mal à me situer dans le récit, durant la première partie du livre. J’ai trouvé qu’il était lent à démarrer, et qu’il y avait beaucoup de termes techniques asiatiques, auquel je ne suis pas habituée. J’ai découvert à la fin du livre qu’il existait un lexique, mais c’était trop tard malheureusement.

Dans la seconde partie du livre, l’affection qui se noue entre Yukiko et Buruu m’a fait apprécié davantage la lecture. Ce lien, fort et étrange, était intrigant, et je me suis sentie davantage prise dans l’histoire.

Pour ceux qui aiment les épopées chevalières, les combats asiatiques, et les traditions ancestrales, c’est un livre parfait. Il navigue entre réalité et extrapolation, mélangeant traditions réelles et décors imaginaires.

Finalement, j’ai fait une découverte, n’ayant jamais lu ce style. Mais je m’arrêterai là, car vraiment, ce n’est pas mon genre.


Points attribués : 7/10

La fille aux licornes intégrale de Lenia MAJOR


Edition: Talents Hauts
Nombre de pages: 575 pages

Résumé: Ascane a été choisie pour devenir licornière du roi d'Ampleterre, au grand dam de Séber, le rude maître licornier, qui ne veut pas d'une fille parmi ses apprentis. Il lui confie une licorne sauvage, un mâle blessé, furieux et indomptable. Mais Ascane a hérité de son grand-père le don de communiquer avec les licornes et d'établir avec elles un lien hors du commun.

Mon avis: Il s'agit d'une trilogie, regroupée en un seul livre.

Ascane est une jeune adolescente lorsqu'elle atteint son objectif: être apprentie licornière. Si ce n'est pas du tout au gout de Séber, le licornier en chef, il ne peut qu'admettre qu'elle ne manque pas de cran. Il lui donne alors un ultimatum: elle pourra entamer son apprentissage si elle arrive à approcher la licorne sauvage qu'ils ont recueilli et à la soigner.

Ascane s'attend à échouer quand quelque chose de particulier se produit, ouvrant un lien entre la jeune fille et la licorne. 
Ce lien va lui être bien utile dans la suite de ses aventures.

Je suis vraiment ravie d'avoir reçu les trois tomes en une seule fois. je serais restée sur ma faim si je n'avais eu que le premier! Ascane est haute en couleur, mélange parfait de crainte, de novicité et de courage. Elle ne cède pas facilement, et fait toujours en sorte de guider plutôt que de se laisser guider.

Sa licorne, avec qui elle a établi un lien, est elle aussi tout à fait particulière. Elle a son propre humour, ses propres raisonnements, et ne s'en laisse pas compter, loin de là...

Les termes utilisés, se rapportant à l'équitation, sont clairs et bien employés. Pour les amoureux des chevaux, ce livre est parfait. En effet, en dehors de l'histoire elle-même, la place est belle pour les relations humains-équidés. Le respect, la douceur, la confiance, et l'effort sont bien représentés.

J'ai vraiment apprécié cette série. Entre aventures, émotion, amitié, j'ai été transportée à dos de licornes dans un monde nouveau. Pour une fois, pas d'amourettes, pas de coup de foudre, et c'est vraiment agréable de sortir des sentiers battus.

Je suis donc plus que positive au sortir de cette lecture.

Points attribués: 9/10

Je remercie l'édition Talents Hauts pour cette lecture épique.

mercredi 22 juillet 2015

Qu'est-il arrivé à Celia Steinhauser de Susan CRAWFORD


Edition: Mosaïc
Nombre de pages: 352 pages

Résumé: Ce pourrait être une fin d’après-midi banale, dans une banlieue banale de Manhattan. Et pourtant, tout est plus vibrant, plus aigu, plus dérangeant. Dana se réveille au bord de la crise qui ne tardera plus à la faire basculer dans l’exaltation mentale, celle des bipolaires comme elle. Au même moment, à quelques pas de là, la police découvre une femme dans une flaque de sang, chez elle, assassinée. C’est Celia Steinhauser, l’amie de Dana. Et Dana est la dernière personne à l’avoir vue cette après-midi-là…

Mon avis: Dana se réveille après une après-midi bien arrosée en compagnie de sa voisine. Le hic, c'est qu'elle ne se rappelle pas comment elle est rentrée chez elle.

La stupeur la fige lorsqu'elle se rend compte que Célia, sa voisine, a été assassinée, et qu'il semble qu'elle soit la dernière à l'avoir vue vivante.

Commence alors une enquête à double sens: Dana va tenter de se souvenir de ce qu'il s'est passé en se demandant si elle a commis ce crime.
Pendant ce temps, Jack Moss, policier, tente de découvrir des indices qui le mèneront au meurtrier.

Entre enquête policière et début de folie, ce livre trace une histoire trouble et sombre.
Si Dana divague à certains moments, elle comprend que sa maladie prend de l'ampleur et l'emmène vers le fond, la faisant perdre pied.

Malgré tout, elle comprend que son mari n'est pas net et qu'il lui cache des choses. Elle essaie de trouver ce qui cloche. Ce que son mari tente, de toute évidence, d'éviter.

Dana est particulière. C'est un personnage particulier. Un personnage bipolaire est une chose que je ne connaissais pas. J'ai été parfois perdue dans les délires dans lesquels tombe Dana. J'ai eu l'impression à certains moments que je ne suivais plus du tout l'histoire, avant que les choses se rétablisse.

Ce que j'ai vraiment aimé, c'est que finalement, l'assassin n'est pas une personne à laquelle on aurait pensé. Malgré tous les petits détails disséminés au fil des pages, j'ai été très étonnée par la chute, et cela m'a vraiment plu. J'aime ces enquêtes qui ne se concluent pas trop facilement.

Au final, le côté policier m'a plu, le côté bipolaire un peu moins. Néanmoins, ça m'a permis de découvrir un nouveau style.

Points attribués: 7/10

Je remercie l'édition Mosaïc pour cette lecture policière.

mardi 21 juillet 2015

Le serment des justes de Jean-Luc FABRE


Edition: De Borée
Nombres de pages: 276 pages

Résumé: En décembre 1942, Paul et Julie recueillent Mériam, une jeune fille de treize ans, muette, qui a pris la fuite dans l'idée de rejoindre l'Espagne. Ils ont entendu dire que, dans les montagnes avoisinantes, il existait des solutions pour aider l'adolescente. Sur place, ils rencontrent un couple, Abel et Madeleine, qui ne souhaite plus remplir ce type de missions, la sécurité étant menacée dans la région, mais accepte tout de même d'accueillir Mériam pour quelques jours. Ce premier contact avec la Résistance sera le point de départ de l'engagement de Paul et Julie contre l'Occupation allemande..

Mon avis: Julie et Paul, en pleine année 1942, tentent de protéger Meriam, une june fille muette. Ils ont l'intention de la faire passer clandestinement en Espagne, espérant lui apporter ainsi la sécurité dont elle a besoin.

Mais les choses ne sont pas si évidentes. Les passeurs dont on leur a parlé ne prennent plus le risque d'héberger des jeunes fuyards, car les choses commencent à être trop connue. Malgré tout, Abel et Madeleine se prennent très vite d'affection pour l'enfant, au point de faire une exception pour elle, allant même jusqu'à demander de faux papiers la déclarant comme leur fille.

Pendant cette année, et jusqu'à la libération, Paul et Julie vont travailler activement dans la résistance de la région, cherchant à saboter les actions allemandes au péril de leur vie.

C'est un récit lent, doux et rude à la fois. Entre Julie et Paul, qui incarnent la force vive des Français, et Abel et son épouse qui sont la force tranquille, il y a un réel choc des générations. La jeune Mériam est le lien qui relie les deux couples.  D'autres personnages secondaires font bien entendu leur apparition, mais ils ne restent pas assez longtemps dans le tableau pour avoir une réelle place dans la chute du livre.

Le sujet m'a intéressé. Une vision romancée de la résistance française lors de la Seconde Guerre Mondiale et des dangers que ces gens ont encouru ont une réelle importance pour moi.

Mais malgré cela, je trouve que le récit reste assez plat, sans hausse de ton, restant toujours sur un même caractère. J'ai décroché parfois, car le rythme est lent, et rien ne vient altérer ça.

Je trouve ça dommage.

Points attrbués: 7/10

Je remercie l'édition De Boree pour cette lecture régionale.

lundi 20 juillet 2015

C'est lundi, que lisez-vous? (76)


Rendez-vous initié par Mallou qui s'est inspirée de It's Monday, What are you reading ? de One Person’s Journey Through a World of Books. Le récapitulatif des liens se fait maintenant surle blog de Galleane.


Il s'agit de répondre à trois questions:
1. Qu'ai-je lu la semaine passée?
2. Que suis-je en train de lire?
3. Que lirai-je après?














Ascane a été choisie pour devenir licornière du roi d'Ampleterre, au grand dam de Séber, le rude maître licornier, qui ne veut pas d'une fille parmi ses apprentis. Il lui confie une licorne sauvage, un mâle blessé, furieux et indomptable. Mais Ascane a hérité de son grand-père le don de communiquer avec les licornes et d'établir avec elles un lien hors du commun
.


Cuba, 1956. Nora et Alicia, deux cousines très proches et complices, vivent une enfance heureuse et insouciante.
Mais la révolution éclate, et Fidel Castro accède au pouvoir. Un climat de peur, nourri par la répression, s’installe peu à peu. Nora émigre alors aux États-Unis, laissant Alicia derrière elle, qui s’apprête à vivre des heures sombres à La Havane.
Tandis que Nora, bien nostalgique de son pays natal, s’accommode peu à peu de cet environnement nouveau, Alicia subit les coups durs, dans un Cuba où la situation se détériore. Grâce aux lettres qu’elles continuent d’échanger, Nora comprend que la vie d’Alicia est devenu un enfer. Elle décide alors de retourner à la Havane pour lui venir en aide.
Mais ce qu’elle va découvrir à Cuba est bien loin de tout ce qu’elle pouvait imaginer…

Et vous, que lisez-vous?

dimanche 19 juillet 2015

Dans ma boîte aux lettres (63)


Bonjour les loulous!!!

Me voilà pour notre rendez-vous gourmand hihi oui bon je ne mange pas les livres, mais je les vois bien comme des friandises. Vous aussi?

Voilà ce qui est venu me rejoindre

Pascal Marmet m'a envoyé son tout nouveau roman


Parmi les milliers de voyageurs, Laurent erre seul dans le hall de la gare de Lyon, l'air paumé. Il vient de rater son CAP boulangerie et sa mère l'a mis dehors. Samy, escroc à la grande gueule, le repère rapidement. Il a bien l'intention de profiter de la naïveté de ce gamin aux chaussures vertes et l'entraîne dans un cambriolage. L'appartement dans lequel ils pénètrent est une sorte d'antichambre du musée des Arts premiers et regorge de trésors africains. Mais ils tombent nez à nez avec la propriétaire et collectionneuse. Comme elle s'est blessée en tombant dans les escaliers, ils lui viennent en aide avant de s'enfuir. Pourtant, quelques heures plus tard, elle est retrouvée morte, abattue de cinq balles tirées à bout portant. Le commandant Chanel, chargé de l'enquête, s'enfonce alors dans l'étrange passé de cette victime, épouse d'un ex-préfet assassiné quai de Conti peu de temps auparavant. Un polar haletant sur fond de sorcellerie qui nous dévoile les coulisses de la gare de Lyon et nous ouvre les portes du célèbre 36 quai des Orfèvres.

L'édition Marabooks m'a envoyé ce livre


Enfant, Klaudia a toujours été terrifiée par son père. Quant aux crimes commis par celui-ci dans son passé, elle en éprouve une effroyable honte. Aussi, son éloignement pour entrer à l'université est-il pour elle l'occasion rêvée de se « réinventer », elle se transforme alors en Eliza Bennet, une jeune femme pleine d'assurance. Mais lorsque Klaudia se retrouve obligée de revenir chez elle, la voilà dramatiquement piégée dans une double vie. La révélation de secrets enfouis dans le passé de son père oblige la jeune femme à affronter enfin son héritage familial. Mais elle va bientôt soupçonner qu'elle n'est pas la seule personne de la famille à s'être forgé une double identité - et pas la seule non plus à être capable de mettre un terme à une existence...



J'ai emprunté celui-ci à la bibliothèque

La vie aux côtés de notre père fut pleine d'impondérables et de charme. Elle n'était ni banale ni triste. Le mythe de l'acteur comique abandonnant son humour à la sortir du théâtre pour afficher le masque d'une mélancolie pesante n'a jamais eu sa place dans notre maison. Louis de Funès était un homme aussi drôle dans la vie qu'à l'écran, sans toutefois utiliser les mêmes armes car il exerçait avant tout un vrai métier, qu'il a peaufiné tout au long de sa carrière. La curiosité de son public est toujours aussi vive : " Comment faisait-il pour trouver tout cela ? " " Il paraît qu'il était extrêmement nerveux " " Vous racontait-il ses gags avant de les jouer ? " " On dit qu'il était extrêmement dur sur un tournage . " " Etait-il sévère avec vous ? " Autant de questions que nous abordons dans ce livre, en tant que témoins privilégiés de cette aventure si originale. " Si l'on connaît tous par cœur l'acteur Louis de Funès et ses films, l'homme, qui aimait la discrétion, reste, lui, méconnu. Dans ce portrait intime, ses enfants nous proposent da faire connaissance avec cet homme secret. On y découvre la personnalité ignorée de leur père, une vie au quotidien riche et trépidante, ponctuée de rebondissements et de péripéties souvent dignes de ses films. Ce vagabondage à la fois inattendu, cocasse et émouvant ravira tous les admirateurs de Louis de Funès.

Et ma soeur m'a prêté deux livres également


Rhume ? Une pneumonie qui s’annonce. Mal de tête ? Les prémices d’une méningite. Thomas est hypocondriaque, le sait, et se soigne… en passant aux aveux ! Angoisses et terreurs jamais vérifiées, le voici enchaînant visites chez son généraliste, suppliques à sa pharmacienne, analyses et scanners qui ne le rassurent jamais. 
Les aventures de ce malade imaginaire vont vous faire mourir… de rire !


Lucie, postière réservée, regarde le temps passer au rythme des épreuves infligées par la vie. Son ordinaire ne lui convient pas jusqu'au jour où sa demande de mutation pour le département des lettres perdues de Libourne est acceptée... Elle ne le sait pas encore mais cette nouvelle va transformer sa vie...

Et vous, qu'avez-vous découvert?