Edition: City
Nombre de pages: 315 pages
Résumé: Paris, 1900. Guillaume, se fait embaucher dans une célèbre pâtisserie du quartier de l’Opéra. Là, il découvre un fascinant monde de douceurs. Ce ne sont pas seulement les crèmes légères et les caramels dorés qui le fascinent, c’est surtout Jeanne, la fille du patron, dont il tombe éperdument amoureux… Un amour qui semble impossible à cause des différences sociales et que le père de Jeanne a bien l’intention de faire échouer. Quatre-vingts ans plus tard, une jeune femme, Petra, découvre une photographie de son grand-père entouré de deux inconnus. Un cliché pris à Paris au début du XXe siècle avec, griffonnés au dos, ces mots : « Pardonne-moi ». Incapable de résister au mystère, elle décide de lever le voile sur l’obscure histoire de sa famille et le secret d’une terrible trahison…Des amants maudits. Une trahison qui bouleverse des générations.
Mon avis :
Je vous présente mon premier coup de cœur de 2016 !
Sur deux époques,
on suit deux histoires.
En 1909,
Guillaume du Frère, est cheminot. Mais le hasard le fait croiser le chemin de
Jeanne Clermont, fille unique héritière du pâtissier Clermont. Peu de temps
plus tard, sur un coup de chance, il est embauché à la pâtisserie Clermont. Le
travail est rude, mais il veut apprendre, il veut découvrir la magie des
pâtisseries. Mais sans qu’ils s’en rendent vraiment compte, Jeanne ne lui est
bientôt plus indifférente…
En 1988, Petra
Stevenson tente de blanchir la réputation de son grand père, qu’un biographe
tente de salir. De recherches en trouvailles, de l’Angleterre à la France,
Petra court après le temps pour trouver les éléments qui lui permettront d’innocenter
son grand père…
Deux histoires
différentes qui pourtant se rejoignent.
J’ai
littéralement DE-VO-RE ce roman ! De la première à la dernière ligne, j’ai
été en haleine, curieuse de voir comment évoluaient les recherches de Petra, et
dans le même temps, impatiente de retrouver Guillaume et Mademoiselle Clermont.
Un dilemme, puisque les deux histoires se juxtaposent, par chapitres
interposés. Un des meilleures manières de mener l’intrigue jusqu’au bout.
Je ne connaissais
pas cet auteur, et je dois dire que maintenant que j’ai lu Le portrait de l’oubli,
j’ai vraiment envie de découvrir d’autres œuvres. Je n’ai que des éloges en tête pour cette
histoire, et vraiment, j’ai savouré chacun des instants qu’aura demandé ma
lecture.
Points attribués :
10/10
Je remercie l’édition
City pour ce roman magnifique.
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