Edition: Archipel
Nombre de pages: 331 pages
Résumé: Aux environs de 1860, on parcourait encore le Bas-Canada sur des routes de terre et on traversait les rivières sur des bacs.
Trois membres de la famille Saintonge contribuèrent de façon déterminante à forger le Québec d’aujourd’hui. Le père, Frédéric, surnommé le Visionnaire, s’exile pour fonder une communauté francophone dans le Midwest américain. Le fils de celui-ci, également nommé Frédéric et qualifié de Prodige, dresse églises, presbytères et nombre de résidences prestigieuses. Enfin, son frère Jean-Charles, dit « l’Affranchi », mène une existence libre, en précurseur des temps nouveaux.
Ces pionniers – et les femmes qui les ont accompagnés – sont ceux et celles qui ont mis le Québec au monde ! Ce livre est leur histoire…
Mon avis :
La famille Saintonge vit dans la seconde partie du 19eme siècle dans une région
du Canada français. Deux frères, mariés, et ayant une ribambelle d’enfants,
entretiennent deux terrains contigus.
Rien ne va plus
le jour où tout le monde découvre au grand jour la liaison que frédéric
entretient avec sa belle-sœur.
Il décide alors
de quitter sa femme pour les Etats-Unis, emmenant son aîné, qui rêve de devenir
architecte. Les choses ne sont pas faciles, et leur rêve ne se laisse pas
apprivoiser facilement.
Que dire ? J’ai
un grand blanc au moment de parler de ce roman.
J’attendais une
grande épopée, une saga familiale sur plusieurs générations, remplies de faits
historiques, d’aventures, d’amour, … bref une histoire comme je les aime.
Je déchante. Je
me suis heurtée à un récit rempli de répétition, de lenteur, de platitude. J’ai
eu du mal à trouver le sens de ce roman. A part les querelles entre Frédéric
Saintonge père et le curé de sa paroisse, puis ses déboires le prêtre de
Sainte-Anne, je n’ai pas vu grand-chose qui vaille qu’on s’y intéresse.
Je suis déçue,
car finalement, ces 300 pages m’ont semblé ennuyeuses et longues à lire.
C’est vraiment
dommage.
Points attribués :
5/10
Je remercie Babélio et l'édition Archipel et Babélio pour cette lecture dépaysante.
Bon bah je passe mon chemin... *Anne*
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